"The assembly" est une réunion hebdomadaire des professeurs, élèves et autres membres du personnel comme le proviseur (the Principal) ou son adjoint (deputy). Le but est de faire des annonces concernant la vie du lycée. A Girls' High, il y a une "assembly" pour les "junior" et une pour les "senior" et, pour les grands évènements comme le "powhiri" ou le"Amzac day" une "assembly" commune dans le gymnase. En Nouvelle Zélande et en Australie,le "Amzac day" commémore les morts des guerres. A Girl' High, l' assembly se termine par l'hymne de l'école accompagné au piano.
Sur la photo, on peut voir les élèves de Kernanec sur l'estrade.
Les lycéens sous le soleil de juin
mercredi 29 février 2012
La Ferme par Nawel Himdi
Le sud de la Nouvelle Zelande, où nous séjournons, est une région très agricole, par rapport à l'île du nord qui est beaucoup plus chaude et sèche. Les fermes en Nouvelle-Zélande sont de grandes exploitations qui s'étendent sur plusieurs hectares où vivent vaches, moutons, chèvres et parfois même des biches. Les vaches servent avant tout à l'exportation de lait. La traite des vaches n'est pas manuelle mais se fait avec une trayeuse. Le travail du fermier est d'insérer les pis de la vache dans la trayeuse le temps d'un tour de la machine pour ensuite, à la fin de la rotation, les retirer et asperger les pis d'un produit nettoyant avant que la vache reparte....tout en restant vigilant aux déjections de vaches qui peuvent arriver à tout moment !
Les moutons servent eux à l'exportation de viande, ils sont emmenés par camion jusqu'à l'abattoir et leur laine est revendue. Quant aux cochons, les petits sont géneralement revendus, quant aux gros, ils sont eux aussi amenés à l'abattoir.
La Nouvelle Zélande exporte une partie de ses fruits, comme les kiwis, mais aussi pommes, pêches, abricots, qui poussent plus au nord du Southland.
mardi 28 février 2012
La journée d'une lycéenne de Girls' High (Solenne Peltier)
Après avoir enfilé leur uniforme et préparé leur lunch box, les lycéennes (c'est la même chose pour les lycéens bien sûr) se rendent à l'école pour 8h45.
Durant les 15 premières minutes, elles (ils) se retrouvent dans une classe où le professeur fait l'appel et annonce les informations importantes. A 9 heures, les cours commencent vraiment.
Il faut préciser que les lycéens néo-zélandais n'ont généralement que 5 ou 6 matières différentes et que le nombre de matières diffère tous les deux jours. Les lundi, mercredi et vendredi , les journées de classe comportent 5 périodes c'est-à-dire 5 matières d'une heure chacune tandis que le mardi et le jeudi, il n'y a que 3 matières, chaque cours durant 1h30.
A 11 heures, les élèves ont une pause de 15 minutes. A midi, ils disposent d'une heure pour manger le lunch qu'ils ont amené dans leur box ou celui qu'ils peuvent acheter à la cafétéria de l'école. Il ne leur reste alors plus que 2 heures de cours. Tous les élèves néo-zélandais quittent l'école à 15 heures !
Durant les 15 premières minutes, elles (ils) se retrouvent dans une classe où le professeur fait l'appel et annonce les informations importantes. A 9 heures, les cours commencent vraiment.
Il faut préciser que les lycéens néo-zélandais n'ont généralement que 5 ou 6 matières différentes et que le nombre de matières diffère tous les deux jours. Les lundi, mercredi et vendredi , les journées de classe comportent 5 périodes c'est-à-dire 5 matières d'une heure chacune tandis que le mardi et le jeudi, il n'y a que 3 matières, chaque cours durant 1h30.
A 11 heures, les élèves ont une pause de 15 minutes. A midi, ils disposent d'une heure pour manger le lunch qu'ils ont amené dans leur box ou celui qu'ils peuvent acheter à la cafétéria de l'école. Il ne leur reste alors plus que 2 heures de cours. Tous les élèves néo-zélandais quittent l'école à 15 heures !
lundi 27 février 2012
La lunch box (Mathilde Hébert)
La Lunch Box ! Notre première
découverte en matière d’alimentation ici en Nouvelle-Zélande.
En
effet, ici, le déjeuner se base sur le modèle américain, les élèves
rapportent leur propre repas dans ces fameuses lunch box. La
plupart du temps, leur repas se compose d’un sandwich, un fruit et
de biscuits et bonbons, un savoureux mélange très diététique !
Mais certains « outcast » ont tout de même relevé le
niveau avec des sushis ! Une cafétéria est aussi à la
disposition des élèves mais son contenu nous est resté inconnu pour l'instant.
Sur le modèle américain, le beurre de
cacahuète est présent dans tous les placards néo-zélandais. Les
anglo-saxons ont, quant à eux, importé leurs Fish and Chips très
« cheap » et très célèbres !
Enfin, ce qui a le
plus marqué mes papilles est la VEGEMITE, les néo-zélandais
l’étalent sur des toasts en ayant mis du beurre auparavant, le
goût est…indescriptible et personnellement je ne recommanderai pas
son importation en France !
Mais, ne vous inquiétez pas, à part
ces découvertes, nous sommes bien nourris… peut-être même un peu
trop car ici la faim n’a pas d’heure et n’attend pas!
Le Paua
Le paua est le nom maori d'un coquillage, connu chez nous sous le nom
d'abalone. La chair de ce mollusque gastéropode (même groupe biologique que l'escargot) peut être consommée, mais ce qui fait surtout son
succès est sa coquille.
Sa nacre prend des teintes irisées tout à fait surprenantes. On l'utilise alors pour la création de bijoux en tous genres et pour la décoration de plats, carrelage, ... Vous en trouverez dans toutes les boutiques de souvenirs. Les maori l'utilisent en particulier pour réaliser les yeux de leurs statues.
Il est possible d'en ramasser sur les plages de la région d'Invercargill, dans les Catlins, ou sur celles de Riverton. Mais attention, sa pêche est rigoureusement réglementée.
Image 1 : coquille dont la face externe a été polie afin de révéler la nacre
Image 2 : face interne de la coquille brute
Sa nacre prend des teintes irisées tout à fait surprenantes. On l'utilise alors pour la création de bijoux en tous genres et pour la décoration de plats, carrelage, ... Vous en trouverez dans toutes les boutiques de souvenirs. Les maori l'utilisent en particulier pour réaliser les yeux de leurs statues.
Il est possible d'en ramasser sur les plages de la région d'Invercargill, dans les Catlins, ou sur celles de Riverton. Mais attention, sa pêche est rigoureusement réglementée.
Image 1 : coquille dont la face externe a été polie afin de révéler la nacre
Image 2 : face interne de la coquille brute
Sports Day à Girls'High par Juliette Guerlava
Les élèves de Southland
Girls' High school sont réparties dans 7 maisons : Gordon (bleu foncé et or),
McStay (bleu clair), Trail (jaune), Mansfield (vert), Batten (rouge), Williams
(noir et blanc) et Enwood (violet, rassemblant toutes les internes). Chaque
année une des maisons est recompensée
suivant un système de points. Lors du”‘Sports day”, ou “Athletics day”, ces 7 maisons
s’affrontent dans différents
domaines
dans le but de récolter le plus de points possible au vue du classement final.
La journée a lieu dans le stadium du “Surrey Park”.
Le
premier domaine de competition est la qualité des costumes. Toutes les élèves
sans exception doivent se déguiser, ou du moins s’habiller aux couleurs de sa
maison. A la fin de la journée, les meilleurs costumes de chaque maison
défilent et un jury établit un classement. C’est ainsi que cette année on pouvait
croiser un pot de ketchup géant, un camion de pompier, shrek, des kiwis, des
shtroumpfs, des anges, des abeilles, un nombre incalculable d’avatars, et bien
d’autres… choses.
Le second est le chant.
Chaque maison possède un chant créé par les élèves de 13ème année, (soit la
terminale en France ) et avant le début des épreuves, dans les gradins divisés
par couleurs, chaque maison se lève et chante tour à tour : là aussi des
points sont attribués. La clé de la réussite ? Ne pas avoir peur de devenir
sourd et muet !
Viennent ensuite les épreuves sportives. Il y a deux types
d’épreuves : en anglais, les “competitive” et “non-competitive”. Les élèves
décident s’ils veulent s’inscrire aux épreuves de compétitions ou rester hors
compétition. Les “competitive” regroupent les courses (100, 200, 400, 800, 1500,
3000 mètres), le saut en longueur, en hauteur, le triple saut, le lancer de
javelot, de disque , de poids, et le relais. Les résultats ramènent plus ou
moins de points à chaque maison. Les élèves hors compétition peuvent participer
aux épreuves "non-competitive” qui sont en fait des jeux : course en sac,
course avec une cuillère et une balle de golf qu’il ne faut pas faire tomber,
et lancers sur cibles. Ces jeux permettent également de ramener des points à sa
maison. Hors des épreuves, on peut rester dans les gradins, mais beaucoup
investissent l’herbe au centre et autour de la piste.
Une fois les épreuves terminées, une bataille d’eau a lieu entre les
filles du lycée et des garcons de Boys' High School, tous de l’année 13.
A la fin, tout le monde est appelé à ranger et nettoyer le stadium,
ce qui aboutit encore une fois à l’attribution de points aux maisons.
Les résultats finaux sont annoncés le lendemain : cette fois-ci
comme l’année précédente, les rouges arrivent en tête du classement !
Maori lessons (Jean-Baptiste Meaux)
J'ai été tout de suite surpris en entrant dans la salle de classe de maori : tous les élèves ont enlevé leurs chaussures. Maximillian, l'élève que je suis en cours de maori ( car mon correspondant n'a pas ce cours) l m'a expliqué qu'on était obligé d'enlever nos chaussures avant d'entrer en cours de maori.
Ensuite, j'ai vu que tous les élèves ne prenaient qu'un cahier et une trousse et laissaient leurs sacs au fond de la classe ; là aussi, j'ai appris que le professeur ne voulait pas de sacs sous les tables ou à côté.
Avant de débuter la leçon, deux élèves ont récité une sorte de prière en maori et tout le monde les a écoutés. Il n'y avait pas un bruit dans la salle : la culture maorie est une culture basée sur le respect de l'autre.
Pendant le cours, le professeur m'a donné un poème à recopier ( "Whakatauki" ) et m'a demandé de le lire devant la classe au prochain cours.
A la fin du cours, deux élèves ont répété la même "prière" qu'au début du cours.
J'ai appris beaucoup sur la culture maorie, mais la principale chose que j'ai retenue est que le Maori doit respecter les autres.
La danse maorie (Louise Tribovillard)
Si, pour nous, le mot "haka"correspond aux danses guerrières pratiquées par les rugbymen de l'équipe des All Blacks en début de match, il signifie plus généralement "danse" en maori.
Ce premier type de danse, le haka, est divisé en deux familles, le haka dansé avec des armes, le "Peruperu", et celui sans armes, le "Taparohi"(ce dernier étant le plus pratiqué). Il est exécuté lors des cérémonies, des fêtes de bienvenue, indistinctement par les hommes et les femmes. Le groupe de danseurs est mené par un leader qui donne le signal pour commencer en criant "Kia Rite", ce qui signifie en maori "prêt à commencer". Le but de cette danse est d'impressionner l'ennemi : en effet, ils doivent rouler des yeux, tirer la langue, pousser des cris.
D'autres danses existent, comme la danse de "Poi"("poi" est un mot maori qui signifie "balle") qui n'est pratiquée que par des femmes. Pour donner du rythme à la danse, elles utilisent des balles en tissu remplies d'herbe et reliées à une corde qu'elles font tourner autour d'elles.
Enfin, la danse "titi torea" est pratiquée par les hommes et les femmes, qui utilisent des batons de bois.
Ces deux dernières danses ont pour but de montrer la coordination des danseurs.
Ce premier type de danse, le haka, est divisé en deux familles, le haka dansé avec des armes, le "Peruperu", et celui sans armes, le "Taparohi"(ce dernier étant le plus pratiqué). Il est exécuté lors des cérémonies, des fêtes de bienvenue, indistinctement par les hommes et les femmes. Le groupe de danseurs est mené par un leader qui donne le signal pour commencer en criant "Kia Rite", ce qui signifie en maori "prêt à commencer". Le but de cette danse est d'impressionner l'ennemi : en effet, ils doivent rouler des yeux, tirer la langue, pousser des cris.
D'autres danses existent, comme la danse de "Poi"("poi" est un mot maori qui signifie "balle") qui n'est pratiquée que par des femmes. Pour donner du rythme à la danse, elles utilisent des balles en tissu remplies d'herbe et reliées à une corde qu'elles font tourner autour d'elles.
Enfin, la danse "titi torea" est pratiquée par les hommes et les femmes, qui utilisent des batons de bois.
Ces deux dernières danses ont pour but de montrer la coordination des danseurs.
dimanche 26 février 2012
samedi 25 février 2012
Teachers' week end
The 3 teachers spent their week end in the Catlins, an hour's drive from Invercargill. It's a secluded region with wonderful landscapes, sea lions on the beaches, fur seals, penguins. There are also a petrified forest and caves, named Cathedral Caves, both to be seen at low tide.
Sports day at Boys High (Lazare Maurel)
Le sport day est un jour très
important pour les élèves néo-zélandais.
Chaque élève appartient à l' une des cinq maisons et doit participer à chaque épreuve pour
lui rapporter des points. Ces maisons sont caractérisées par leur
couleur (bleu, rouge, noir, vert et orange), leur « cri de
guerre » et leur déguisement.
Tous les participants sont
souvent très investis et se peignent tout le corps (j'étais couvert de peinture rouge) pour montrer leur
appartenance à leur maison. Nous avons pu donc effectuer de
nombreuses épreuves identiques à celles présentes aux Jeux
Olympiques. Nous avons eu la chance de pouvoir toutes les faire sous
un soleil radieux.
Même si cette journée est essentiellement basée
sur le sport, il n’existe pas une réelle compétition et c’est
la participation plus que la performance sportive qui est
récompensée. Le vrai but est de faire rire les autres ou de se
faire remarquer par ses déguisements.
Milford Sound (Martin Delvau)
Hier, nous sommes allés
à Milford Sound, un fjord situé dans le Sud-ouest de l’île du Sud.
Un fjord est une vallée glacière très profonde, se prolongeant en dessous du niveau de la mer et remplie d’eau « mélangée » (eau de mer et eau douce).
Un fjord est une vallée glacière très profonde, se prolongeant en dessous du niveau de la mer et remplie d’eau « mélangée » (eau de mer et eau douce).
Tout d’abord, nous nous
sommes levés aux aurores pour prendre le bus devant Boys' High school. Le trajet a occupé la majeure partie de la journée car Milford Sound se situe à plus
de 270 kilomètres de Invercargill mais durant toute la route, nous avons pu
admirer de merveilleux paysages de plaines et de montagnes.
A notre arrivée à Milford Sound, nous avons tout de suite mangé pour prendre le bateau juste après. Dès notre montée sur le bateau, les paysages nous ont émerveillés. Effectivement, les parois des montagnes qui atteignent par endroits 1200 mètres de dénivelé, le lac extrêmement plat, comme un miroir dans lequel nous voyions le reflet des gigantesques montagnes et les phoques nous ont fascinés.
Sur la route du retour, la journée s’est terminée par un repas typiquement Anglais, le fameux Fish and Chips.
A notre arrivée à Milford Sound, nous avons tout de suite mangé pour prendre le bateau juste après. Dès notre montée sur le bateau, les paysages nous ont émerveillés. Effectivement, les parois des montagnes qui atteignent par endroits 1200 mètres de dénivelé, le lac extrêmement plat, comme un miroir dans lequel nous voyions le reflet des gigantesques montagnes et les phoques nous ont fascinés.
Sur la route du retour, la journée s’est terminée par un repas typiquement Anglais, le fameux Fish and Chips.
vendredi 24 février 2012
Milford Sound
Today, trip to Milford Sound, cruise included. A bit worried this morning : would it rain all day long ? But it didn't, it was sunny most of the afternoon and Milford under the sun is amazing, impressive and, to put it in a word, grand ! New Zealander and French students had a great day together and will certainly have a great week end. Yes, poor French students, no school on Saturdays and the week end has begun.
Journée à Milford Sound : quelques images du joyeux groupe
La croisière dans les fjords s'est faite sous le soleil, ce qui est relativement rare dans cette partie de la Nouvelle Zélande : "douche" sous les cascades, bain de soleil et rencontre avec quelques phoques puis retour à Invercargill.
jeudi 23 février 2012
Toroa : l'Albatros (Claire Pascal)
Dunedin
n'est pas seulement une ville où il est plaisant de faire du
shopping, mais c'est aussi une ville proche de Taiaroa head. Ce site,
situé sur la péninsule d'Otago, est le seul endroit où l'albatros
royal se reproduit, sur le continent (mais ils se reproduisent
également sur certaines îles isolées du Pacifique).
Les
albatros royaux ont commencé à se poser à Taiaroa head depuis
1914. En 1920, le premier œuf est trouvé, c'est pourquoi, en 1937,
une politique de protection de ce début de colonie est instaurée.
Depuis, les albatros royaux sont sérieusement étudiés, du stade
d'œuf aux 45 ans qu'ils peuvent atteindre. En effet, des bandes de
couleur aux pattes permettent la reconnaissance des individus, et par
conséquent il est possible de voir si d'autres oiseaux intègrent la
colonie. Un exemple d'étude d'albatros pourrait être celui d'une
femelle de 42 ans, qui, selon les spécialistes, aurait eu trois
partenaires différents.
Selon
la période où l'on visite Taiaroa head, on peut observer
différentes scènes correspondant à plusieurs stades :
L'œuf
est d'abord couvé pendant 80 jours, puis, après l'éclosion,
l'oisillon est nourri par ses parents pendant près de 8 mois. Les
parents quitteront ensuite la colonie pour passer un an en mer pour
ensuite revenir se reproduire.
A
cette période de l'année (février-mars), c'est le « guard
stage ». Pour une durée de 40 jours, les parents
intervertissent leur rôle : pendant que l'un garde l'oisillon,
l'autre est en mer pour récolter la nourriture nécessaire.
Les
albatros passent la majeure partie de leur vie en mer. Ils se
nourrissent et dorment sur l'eau (ils sont même suspectés de
pouvoir dormir pendant leur vol). Cependant, ces oiseaux passant la
majeure partie de leur temps à voler, ils ont des difficultés pour
atterrir : il y a même eu quelques crashs à Taiaroa head.
mercredi 22 février 2012
The house system (Agnes Clément)
Le "House system" est un héritage britannique. Les lycées sont divisés en maisons, d'environ 250, parfois moins, qui regroupent des lycéens de toutes les classes. Ces maisons sont fondées sur un système d'entraide des lycéens entre eux, les plus grands aidant les plus jeunes.Chaque maison a ses couleurs, son hymne, ses traditions. C'est ce système qui a été popularisé par le roman "Harry Potter". Pendant le Sports Day de Southland Boys' High, les cinq maisons se sont affrontées et les lycéens étaient recouverts de peinture selon leur appartenance : bleu, rouge, orange, noir, vert. La maison orange regroupe les fils de fermiers et certains portaient des peaux de mouton. A quand un sports day à Kernanec ?
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