Sports day at James Hargest par Marie A.

"Le 20 février a eu lieu le Sports Day de James Hargest. Les participants aux différentes activités se sont donné rendez-vous à Surrey Park afin de vivre cette journée pas comme les autres.
Lors du Sports Day, plusieurs activités sont proposées: courses (100 m, 200 m, 400 m, 800 m, 1500 m, 3000 m), lancer de poids, saut en hauteur, saut en longueur...
Mais le Sports Day est aussi une journée amusante où chaque étudiant s'habille ou se déguise en fonction des couleurs de sa maison. Les différentes maisons sont : Menzies (les verts), Thompson (les rouges), Hamilton (les jaunes) et Watson (les bleus).

Certains préfèrent rester sobres dans leur tenue, d'autres courent pieds nus ou torse nu mais nous avons aussi eu le plaisir de voir quelques déguisements plutôt amusants comme par exemple : des clowns, un mexicain, les Minions, Pacman, ou parfois juste un maillot de bain.

Marie Allard."

L'uniforme à James Hargest par Hugo

La première surprise quand l'on arrive dans un lycée anglophone, c'est le magnifique uniforme.
Je vais parler de celui de James Hargest College (lycée mixte). Pour les garçons, il se compose d'un pantalon de costume gris (qui ressemble à un jogging quand il n'est pas repassé), d'une chemise blanche et d'une cravate rouge à rayures grises. Ils ont la possibilité d'avoir une veste de costume rouge sur laquelle ils peuvent coudre leurs prix d'excellence et arborer des pins de tous genres. Pour les filles, il se compose d'une jupe grise plus ou moins courte, d'une chemise blanche et de la cravate rouge. En cas de besoin si mauvais temps (ce qui n'est pas souvent le cas .... LOL), les élèves peuvent acheter un pull rouge avec écrit JHC. Les chaussures sont noires pour tout le monde.
J'ai parlé avec plusieurs élèves quant à leur déguisement de tous les jours au lycée, et je leur ai demandé : "Vous n'aimeriez pas porter vos propres vêtements au lycée ?". Et ils m'ont répondu que non, que cela avait plein d'avantages comme par exemple : le matin, pas de problèmes de "qu'est ce que je vais mettre ce matin?" ; pas d'exclusion due au style vestimentaire...
Je suis d'accord pour le premier argument mais le deuxième est assez drôle quand vous voyez des gens avec des piercings sur la langue, les lèvres, le nez .. qui sont regroupés ensemble ; quand vous voyez un groupe de garçons avec des chemises bien repassées, un pantalon nickel et à côté, d'autres avec un pantalon qui fait plus jogging que pantalon, une chemise pas repassée et dont la couleur commence à ternir vers le jaune...

Sinon pour ma part, l'expérience de l'uniforme s'est bien passée.
Petite anecdote, le premier jour en arrivant en habits normaux au lycée, on se fait plus remarqer que quand on a l'uniforme.  Une fois dedans, on est confondu dans la masse.

PS : les photos d''uniformes sont déjà en ligne sur le blog

Hugo Hucheloup

Envoyé de mon iPod

La Boxe par Raphaël

Après les cours, la mère de ma correspondante et ma correspondante vont à la boxe. La salle est située sur un ancien terrain militaire et les cours durent une heure. On y pratique plusieurs séries d'exercices : la corde à sauter au début, puis des exercices de sauts, des exercices avec des poids de 5kgs, des exercices en extérieur sur des objets (soulever une corde, frapper un pneu avec un marteau, déplacer un pneu de tracteur...) puis on finit en tapant dans les sacs. On a droit à de nombreuses pauses pour boire car l'exercice est souvent intensif.

Raphaël Chalicarne

Le travail des lycéens par Raphaël Chalicarne

La plupart des jeunes néo-zélandais travaillent en dehors du lycée. Ils touchent l'équivalent du SMIC à partir de 16 ans mais peuvent travailler à partir de 14 ans. Ma correspondante travaille par exemple dans un centre commercial le week-end, au total 10 heures et demie par semaine, mais certains cumulent plusieurs jobs. D'autres lycéens livrent par exemple des pizzas ou aident les enfants dans leurs devoirs. En Nouvelle Zélande, la plupart des magasins sont ouverts le dimanche matin et le début de l'après-midi.

Les Néo-Zélandais dans la Première Guerre Mondiale ( Raphael)

En cette année de triste anniversaire du commencement de la Première Guerre Mondiale, en ce pays qui entretient des relations particulières avec la France suite à ce conflit, Raphaël a réalisé ce document.

Les pestes (Bernard Gaffez)

Les mammifères ont été inconnus en Nouvelle-Zélande jusqu'à l'arrivée des premiers colons : seules 2 espèces de chauve-souris s'étaient développées. Toutes les strates de la forêt étaient occupées par les oiseaux.

Les premiers colons ont débarqué avec quelques animaux d'élevage et d'autres, souvent involontairement, parfois pour lutter contre une autre espèce.

En absence de prédateurs, ces intrus se sont développés de manière explosive et deviennent maintenant envahissants et problématiques vis-à-vis de la faune et de la flore endémique (les animaux et plantes spécifiques à l'île). D'autre fois, ce sont des plantes qui y trouvent un climat très propice. Ces espèces sont qualifiées de pestes.

Le possum et le rat sont deux pestes bien connues en Nouvelle-Zélande, et vous observerez peut-être des pièges si vous vous promenez en forêt : c'est le cas à Bluff.

Chaque île, voire continent, a ses pestes. Ainsi, à la Réunion par exemple, le goyavier, introduit pour son fruit délicieux, est devenu envahissant et incontrôlable.

Week end sur la West Coast

Longtemps très isolée du reste du pays et réservée aux chercheurs d'or, la West Coast pays du "pounamu", nom maori de la greenstone, s'ouvre maintenant aux touristes et leur offre ses paysages grandioses.

un kea, sorte de perroquet des montagnes

le lac Brunner

un weka

des nikau

Pancake Rocks

le glacier Franz Joseph

le lac Matheson

Knights' Point

le lac Wanaka

Mount Aspiring

repas au soleil à Cromwell

Rencontre sur la plage

Journée magnifique à Invercargill, ciel bleu sans le moindre nuage, 22 degrés à l'ombre. En me promenant sur Oreti Beach avec Mme Beer, j'ai rencontré Mr et Mme Crosbie qui avaient emmené Marie, Mathilde, Isanka et Leo faire du body boarding avec leurs enfants Jessica et Lachlan et une autre pensionnaire de l'internat. Grand avantage de terminer les cours à 15h.

Stewart Island par Alice Calvez

Stewart Island est l’île au sud de la Nouvelle Zélande. Sa superficie est de 1746 km2, mais seulement 387 personnes y vivent. On y accède par le ferry, ou par avion depuis Invercargill. L’activité économique principale est la pêche, ainsi qu’un peu de tourisme. Il n’existe qu’un village, Oban, à l’est de l île, 80% du territoire sont protégés depuis la création du parc national de Rakiura. Ainsi, une grande partie de l’île est restée à l’état sauvage, avec beaucoup de forêts et de grandes baies, telles que Mason Bay. En effet, Stewart Island abrite de nombreuses espèces animales, notamment des oiseaux qui perdurent grâce à l’absence de prédateurs : il y a par exemple des kiwis, une espèce d’oiseaux endémique à la Nouvelle Zélande. Il est par ailleurs très difficile d’en voir, ceux –ci ne sortant que la nuit et dans certains coins reculés.

Marae de Bluff

Ce matin, nous avions rendez vous au marae de Bluff pour un powhiri (à prononcer pofiri). Nous avons été accueillis par le responsable maori du marae selon le protocole. Mr Gaffez a fait un petit discours en anglais et maori pour remercier la communauté de nous accueillir et le groupe a chanté Te Aroha, un chant maori. Après une tasse de thé dans une 2ème salle, le responsable a expliqué les différentes sculptures qui décorent la salle, toutes en rapport avec l'environnement et le lien très fort avec "Mother Earth" et  de retour dans la salle du powhiri (où les photos sont interdites), il a présenté les statues représentant les familles de la communauté. La matinée s'est terminée par une photo devant Stirling Point.

Stirling Point

Rugby par Anthime Fenez et Théo Schaaf

 Chers lecteurs de notre blog,

Notre article parle du rugby. En effet, comme vous pouvez vous l'imaginer, le rugby occupe une très grande place en Nouvelle Zélande. Le rugby est ici ce que le football est chez nous, la majorité des jeunes le pratique et il en existe différentes formes : le Touch plus souvent pratiqué par les filles ( certaines françaises de l'échange ont pu avoir la chance de jouer en terre sacrée, ici en Nouvelle Zélande ). Samedi dernier, (Théo, Raphaël, Hugo H. et Anthime), nous sommes allés a Dunedin qui possède une des 4 ou 5 équipes néo zélandaises du Super 15 : Les Highlanders. Les Highlanders étaient opposés aux Auckland Blues. Ces deux équipes possèdent quelques joueurs évoluant aussi en équipe nationale avec les BLACKS. Ce fut un très beau match, avec une très, très, très bonne ambiance. Le stade de Dunedin se situe en plein quartier étudiant, je vous laisse imaginer. Les Highlanders se sont imposés sur le score de 28 à 21 avec 7 essais et des actions de folie.
Le rugby ici est d'un autre niveau que celui pratiqué en France même si nous  souhaitons la victoire de la France pour le Tournoi des Six Nations. 

Soleil, soleil

Les élèves ont été surpris de prendre des coups de soleil aussi rapidement et facilement lors de leur premier week-end, souvent passé à l'extérieur.

En effet, ici le soleil brûle rapidement. La faute à la couche d'ozone. Enfin, plutôt aux humains qui ont attaqué cette couche protectrice, ce dont les néo-zélandais paient maintenant le prix fort : ils ont le plus fort taux mondial de cancer de la peau. Un néo-zélandais en meurt chaque jour. Aussi prennent-ils l'habitude de se protéger et de se couvrir pour leurs activités de pleine nature.

La couche d'ozone est une partie de l'atmosphère riche en ozone. Ce gaz absorbe une partie des UV d'origine solaire, dont les UVC, les plus toxiques. En protégeant les formes vivantes de l'effet letal des UV, l'ozone a permis à la vie de coloniser les continents.

Les CFC sont des gaz désormais interdits d'usage. Leur diffusion dans l'atmosphère a détruit les molécules d'ozone. Du fait de la circulation atmosphérique, lors du printemps austral, se forme un trou dans la couche d'ozone au dessus de l'antarctique [en fait, une diminution très importante de la concentration de ce gaz]. En périphérie, la concentration diminue également de facon importante, et la Nouvelle-Zelande est fortement concernée.

Pour en savoir plus

Te Anau par Lia Bouffart

Te anau est une toute petite ville très calme située à environ deux heures d'Invercargill. Dans cette petite ville se trouve un lac. Celui-ci est très grand et est très profond, en effet il fait 417 mètres de profondeur! Pour aller jusqu'aux grottes il faut prendre le bateau pendant environ 30 min. Malgré  le vent, la traversée est très agréable car le paysage est magnifique. Enfin le bateau accoste sur une petite plage. Après quelques explications et recommandations, nous partons par petits groupes dans les grottes. Les premiers mètres se font pratiquement pliés en deux car l'entrée est très étroite ! Puis peu à peu, nous pouvons nous relever en même temps que la lumière du jour disparaît. La première partie de la visite, nous nous suivons sur des petits ponts métalliques qui passent au dessus d'une petite rivière et même d'une cascade ! Nous ne sommes pas totalement dans le noir pendant cette partie; des petites lumières sont là pour nous aider et au plafond se trouve des petits vers qui émettent une lumière bleue-verte pour attirer les insectes. C'est très joli mais ce n'est pas la partie la plus spectaculaire ! La deuxièmes partie se fait en bateau. Nous montons tous dans un petit bateau et notre guide le dirige juste en tirant sur des cordes présentes sur la paroi. Toute cette partie se déroule dans le noir total ; la seule lumière provient des vers lumineux présents en un nombre très important. C'est vraiment quelque chose de magique; les parois couvertes des lumières des vers semblent être des constellations et le mouvement du bateau sur l'eau est très reposant ce qui fait de ce moment quelque chose de vraiment spectaculaire ! Les grottes de Te Anau sont quelque chose à absolument visiter sauf si vous êtes claustrophobes ou si vous avez peur du noir!
Lia
(Les photos à l'intérieur des grottes viennent d'Internet car on ne peut plus prendre de photos )

1er week end à Wanaka

Je tiens à remercier toute ma famille d'accueil néo-zélandaise pour ce week end merveilleux et unique à Wanaka. Au programme de ce vrai week end d'été, promenade en bateau, ski nautique, bouée tractée, rando, plage, tennis, footing....Avec surtout des paysages à couper le souffle. Pas une minute pour s'ennuyer, même pendant le voyage en voiture, occupés à regarder les lacs et les montagnes défiler.
Pauline Caillat